Ils couraient après ce petit train
Qui allait leur faire voir la mer.
Beaucoup s'accrochaient à
Lui, d'autres dégoulinaient
De chaud, certains parlaient
De moustiques qui les piquaient.
Bruits, regards échangés, sueurs
Et rendez- vous, tant de souvenirs
A la Dubout. Deux, trois vestiges
Du passé attirent encore les étrangers.
Nos ancêtres, eux, sourient tendrement.
Et ce petit train vit encore dans
Des contrées océaniques ! Retapés,
Ses wagons véhiculent les curieux
Venus visiter le village landais.
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