Se laisser emporter par le quadrillage
sage des rues, assoupies à l'heure,
tardive, du déjeuner. Fermer les yeux
et se guider aux sons. Deviner derrière
les plus graves , la pauvre vie des humbles,
les heures sans sommeil, le logement
précaire. Puis les rouvrir et se laisser
envahir par les sourires cueillis, au hasard,
et qui suspendent, heureusement, le temps.
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