Le vent a forci et les jeux sont laissés,
les quatre du même sang sont sur la grève.
Des sacs tirés, ils se régalent de mets tiédis
et imaginent l'été sur la plage immense. Ils
retrouvent enfin le temps des piques-niques,
du repas préparé que l'on avale en riant et de
ces jours d'été où rien ne vaut tant que de
s'étendre sous le feu tendre du pays.
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