Longtemps ce fut pour moi une cité précieuse
on l'on jouait incongrûment à un sport du grand
sud. Parfois, je feuillette des pages jaunies
qui parlent du rugby à Bourgoin, de son casino
aussi, que l'on fit diriger par un vendrois brillant,
joueur à plusieurs postes.
J'attends l'automne et ses vendanges qui m'y guideront
à l'appel de mon grand, sagement expatrié, pour caresser
du Pézenas de Molière le cuir tendre de ses enfants.
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