La lune amie attend ma ronde
De nuit. Un sourire familier au
Coin des chemins de la vie.
J'aime marcher vers sa masse
De verre luisante dans la sombre
Matière des insomnies amenées.
Voilure assagie des tempêtes
Retenues sans le cri d'ennui
Des jours où le corps fourbu
Repose au creux des matins.
Tissage laborieux des Parques
Qui ne sont plus. Le fil est coupé.
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